Philippe Dessertine tire la sonnette d'alarme sur la dette des États, trop importante par rapport à la création de richesse.
Il insiste sur le fait que prêter de l'argent "gratuit" (ou presque) fausse tout le système économique, les mécanismes de rentabilité, d'investissement ou d'épargne, le risque n'est plus rémunéré et ceci finit inévitablement par péter.