Les banques Espagnoles comportent dans leurs bilan des actifs toxiques dont elles sont devenus propriétaires. Ces actifs toxiques liés à l’immobilier représenteraient 88 000 millions d’euros. En effet, ces banques se sont vues « refourguer » des milliers d’hectares en échange de dettes dues par les promoteurs immobiliers ibériques.
Problème N°1, ces terres désertiques et rurales sont situées loin de tout et ne représentent en fait quasi aucune valeur. Le gouvernement prévoit d’ailleurs une dépréciation de l’ordre de 80% du prix d’acquisition de ces terres.
Problème N°2, la législation espagnole n’est pas favorable aux propriétaires de ces surfaces (obligation de conserver ces terres après éventuelle construction au moins 3 ans…).
Le gouvernement espagnol a donc décidé de modifier ses textes de loi afin de les rendre favorables à ses très chères banques…
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