Je me demande pourquoi je devrais me saigner aux quatre veines pour financer la retraite et les dépenses de santé des baby-boomers qui, après avoir connu l’insouciance des Trente Glorieuses, dansé tout nus et jeté beaucoup de pavés, n’ont rien fait pour prévoir leur propre futur ? Cette idée, en soi, est à l’opposé du principe de solidarité entre générations qui régit la vie en société (y compris chez certains animaux). Certes les jeunes doivent aider leurs parents, mais ces derniers doivent les mettre en position de le faire. Le gâteau doit grandir à chaque génération pour être partagé, or mes parents ont mangé une part du gâteau, celle qui m’était réservée.
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Financement des retraites par Lupus
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