Déjà en mars, le Gouverneur de la Banque de France s’était étonné de la forte hausse des prix immobiliers en France.
taux de crédits anormalement bas,
conditions de crédits trop favorables aux acquéreurs : la banque appâte ainsi son client
les incitations fiscales et soutiens au financement ont montré leurs limites dans ce domaine (Scellier, PTZ+,…) et ont soutenu artificiellement les marchés immobiliers
Christian Noyer insiste sur le fait que la hausse des prix de l’immobilier « contribue à donner le sentiment d’une perte de pouvoir d’achat […], avive les revendications salariales » et « est source de malaise social et de rigidité économique car elle entrave la mobilité des personnes et aggrave les inégalités ».
Source : Banque de France
La vie immo