Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

IMMUNISATION COMMENT ÊTRE IMMUNISÉ CONTRE LA COVID 19 ? QUELLE PREVENTION ET QUELS TRAITEMENTS FACE AUX VARIANTS ? Qui faut-il vacciner ?
 

A tous les professionnels de santé 

Personnellement comme beaucoup de confrères, je traite et conseille de nombreux patients dans les Pyrénées Orientales et plus largement avec Zinc, Vitamine D et C, Ivermectine, Plaquenil et antibiotiques selon chaque cas. Cela peut vous servir pour vous même et vos proches et vous éviter hospitalisation, réanimation, donc des économies pour l’assurance-maladie.

Pendant ce temps le président du conseil scientifique le Pr Delfraissy, qui ne voit jamais de malades, conseille des anticorps monoclonaux qui sont très chers et ne servent à RIEN.

Deux situations peuvent contribuer à nous protéger plus ou moins longtemps, voire à nous immuniser contre le coronavirus et ses variants alpha, beta, gamma, delta, epsilon, zeta, heta, theta, iota, kappa,...  omega

       - Soit après avoir accueilli le virus, développé on non la maladie et en avoir été guéri : cela concerne en France plus de 5,6 millions  de personnes (relevé du 5 juillet 2021).

       - Soit après avoir été vacciné : en France, au cours de la première semaine de juillet 2021, pas moins de 34, 5 millions de personnes avaient reçu au moins 1 dose (soit 51,5% de la population).

Parmi eux, 24,5 millions ont reçu deux doses, voire trois (soit 36,5% de la population), selon les vaccins. Les anticorps que vous aurez dépendent alors du vaccin reçu. Avec les vaccins à ARN messager vous avez ou aurez des anticorps anti-Spike (anti-S), mais pas d’anticorps anti-coronavirus.

Dans chacune de ces deux situations, notre corps peut fabriquer un type d’anticorps différent qu’une simple prise de sang sur ordonnance détecte.

  • Les anticorps anti-coronavirus présents après la Covid 19, avec un index spécifique de la protéine N au-delà du chiffre 20. Celui-ci démontre que l’on a été touché par le virus, avec ou sans symptôme. Les personnes qui maintiennent de bonnes défenses immunitaires peuvent conserver ces anticorps très longtemps[1] et sont immunisées contre le corona qu’ils ont eu et de façon incertaine pour tel ou tel variant.
  • Les anticorps de spécificité S pour Spike avec un index au-delà du chiffre 10, et jusqu’à plus de 2500, après la vaccination avec ARN messager. Ces anticorps peuvent s’épuiser en moins d’un an, d’où le besoin de revacciner tous les ans qui se prépare. Le président lui même l’a affirmé le 12 juillet.

Quant à l’efficacité des vaccins contre le coronavirus et ses variants, elle reste incertaine. Elle doit et devra être démontrée pour chaque vaccin, chaque variant et selon l’âge. On voit bien que la vaccinologie n’est pas une science exacte comme le taux de glucose ou de cholestérol dans le sang. Or, la tendance actuelle officielle est d’affirmer que tous les vaccins protègent de tous les variants, le plus souvent sans preuve scientifique réelle. D’où l’orientation très forte des Etats vers la vaccination généralisée en France, en Europe et dans le monde pour éradiquer une pandémie.

Mais si vous avez reçu les vaccins non encore validés chez nous, le russe Spoutnik en Algérie, ou un des vaccins chinois au Maroc ou aux Emirats, rentrant en France, vous devrez être revacciné.

Trois affirmations pour mieux me comprendre.

1/ Je n’ai ni conflit ou lien d’intérêt avec les lobbies pharmaceutiques et leurs alliés médicaux, médiatiques ou politiques.

2/ Je suis favorable aux vaccins qui n’ont pas d’aluminium dans leur composition. Je connais bien les dangers de cet adjuvant à moyen et long terme pour l’organisme humain et animal. Actuellement, les vaccins contre le coronavirus Cov-2 et ses variants en Europe et en France ne contiennent pas l’adjuvant aluminium[2]. Le ministre Véran l’a affirmé avec véhémence à l’Assemblée Nationale au début de la campagne de vaccination.

3/ Je suis prudent avec les nouveaux vaccins contre le Cov-2. Pourquoi ? Ils sont en cours d’expérimentation chez l’humain et on cherche à les généraliser à toute la population - quel que soit l’âge - sans connaître ce qu’on appelle les effets indésirables (E.I.) à moyen et long terme à tous les âges de la vie.

Face à d’éventuels E.I. il faudra distinguer la temporalité (E.I. peu de temps après un vaccin ou longtemps après) de la causalité (c’est bien le vaccin ou un de ses composants qui est directement la cause de l’E.I). Par des exemples antérieurs, on sait que ces effets indésirables sont surtout fixés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et minimisés, qu’ils sont sous déclarés. Quand ils ne sont pas niés et refusés par les centres de pharmacovigilance, dont c’est pourtant la mission de les recenser.

Les données actuelles montrent que les vaccins, quels qu’ils soient, ne protègent pas à 100% contre la maladie qu’ils ont pour objectif d’éviter. Si l’on veut prévenir tel ou tel variant, il faudra peut-être, nous dit-on, 3 injections selon le type de vaccin.

De plus, il faut compter avec la fonte éventuelle du taux des anticorps qui ne s’avèrent pas être assez robustes. On nous prépare donc à la vaccination chaque année, comme contre la grippe dont l’efficacité est officiellement autour de 40%.

Prétendre que les épidémies de grippes seront éradiquées par les vaccins n’est ni exact ni scientifique, puisque 60% des vaccinés peuvent la développer. Un vaccin antigrippal groupé avec un vaccin anti-coronavirus est actuellement en préparation. Patientons pour y voir clair et pouvoir conseiller honnêtement et scientifiquement.

Si vous êtes vacciné, sachez que la responsabilité face aux éventuelles complications, s’il y en a, n’est assumée ni par les fabricants, ni par l’Etat ou le médecin prescripteur, et ni même par la personne qui vaccine. En d’autres termes, l’E.I. est à la charge de celles et ceux qui acceptent d’être vaccinés. En revanche s’il y a obligation vaccinale, l’Etat deviendra totalement responsable d’où son hésitation.

Il est donc très difficile de conseiller le patient qui demande : dois-je me faire vacciner et quel vaccin choisir ?

C’est dans le face à face d’une consultation médicale et du secret médical que le médecin peut apprécier l’état global de son patient, les risques liés à son métier, à ses antécédents... entendre ses interrogations et proposer sans imposer. Etre vacciné ou pas, fait partie du secret médical que vous pouvez garder pour vous. Mais attention l’Etat manifestement veut savoir si vous êtes ou non vacciné.

Pourquoi nous fait-on peur, même en vacances ?

1/ Notre système de santé est limité en nombre de lits de réanimation et nous savons maintenant que la Covid-19 peut engendrer une insuffisance respiratoire grave si la maladie n’est pas traitée immédiatement. Tout retard thérapeutique peut donc être fatal, d’où l’importance de la prévention et d’un traitement sans tarder.

2/ Les conseils de prévention des autorités se limitent encore et toujours à : lavage des mains, distanciation, masque[3], tester, tracer, isoler, confiner, quarantaine, couvre feu… qui font que chacun doit se méfier de l’autre et peut être suspect par simple contact. La société de la peur et de l’individualisme s’installe ! Une forme de nouvelle idéologie inquisitoriale avec ses rites et sa doctrine, imposés à tous.

Curieusement, les autorités politiques et de santé ne semblent suivre qu’une seule voie depuis le début de la pandémie, relayée par les médias et médecins sur les plateaux télé, celle du ”VACCIN”, au mépris de toute prévention et traitements, de l’observation médicale de terrain, de la notion de « soin » et de la « liberté de prescrire » du médecin (donc du serment d’Hippocrate) …  en dehors du paracétamol.

Au nom du siècle des lumières et du pays de Pasteur nous dit le président !

De la part des autorités, aucun conseil préventif ou thérapeutique n’est donné en dehors de la réanimation, alors qu’il faut traiter tôt et que tout est possible à domicile. Ces choix sont incompréhensibles tant pour les médecins au contact des malades que pour le grand public. Ainsi beaucoup de personnes fragiles, y compris des médecins et du personnel de santé, ont été pris en charge trop tard et ont perdu la vie[4]. Ne s’agit-il pas d’une Non-assistance à personne en danger de la part des administrations pléthoriques médicales françaises ? La justice devra répondre.

En outre, la distinction statistique la plus élémentaire entre la fin de vie ”naturelle” et la fin de vie réellement liée à la Covid, n’est pas faite ou du moins non publiée car elle serait rassurante comme vous allez pouvoir le vérifier vous même.

       - Avant la vaccination, tout décès était systématiquement dû au Cov-2.

       - Depuis la vaccination, les décès post-vaccination (en particulier en maisons de retraite) sont liés à l’âge…

Entre 2015 et 2021, en France le nombre quotidien de décès est très important à connaître pour juger de la gravité réelle de cette ”pandémie”[5].

(https://www.insee.fr/fr/statistiques/4931039?sommaire=4487854) :

  • en 2015 entre 1600 et 1880 personnes/ jour.
  • en 2016 entre 1500 et 1700 personnes/jour
  • en 2017 entre 1800 et 2000 personnes/jour
  • en 2018 entre 1700 et 1900 personnes/jour
  • en 2019 entre 1800 et 1900 personnes/jour
  • en 2020 entre 1800 et 2200 personnes/jour
  • en 2021 entre 1600 et 2100 personnes (jusqu’en juin)/jour

Il faut évidemment tenir compte des âges, puisque les plus âgés sont les plus nombreux avec le papy boom[6] et ont le plus de risques du fait de l’immuno-sénescence et donc d’une santé fragile, de perdre la vie. Comme l’a démontré mon collègue Axel Khan, il faut être toujours prêt : on ne sait ni le jour ni l’heure.


Sur 7,8 milliards d’humains le taux de mortalité, le rapport nombre de décès sur population est à 0,05%. Cela nous amène à recevoir avec prudence les informations alarmistes et parfois terrifiantes dont on nous bombarde.

Les chiffres ci-dessus sont des moyennes. Exceptionnellement selon l’INSEE, (statistiques de l’Etat-civil), le 1er avril 2020, on a pu compter ce jour-là 2 811 décès en France, contre 1 684 en moyenne à la même date au cours des cinq années précédentes soit 1127 de plus que l’on peut attribuer à la Covid 19, sans certitude, puisque beaucoup de médecins ont reçu la consigne de déclarer les décès ”Covid”.

De manière globale, les chiffres de la mortalité liés à la Covid assenés officiellement sont partiels et sujets à caution. Ils sont destinés à affoler une population rivée à son téléphone portable dès le matin et devant la télé 4 à 5h par jour.

En ce début du temps de vacances d’été 2021, si vous suivez de près les chiffres, vous pouvez observer trois faits essentiels. 

       1/ Une reprise de l’épidémie dans les pays fortement vaccinés, tandis que l'épidémie faiblit dans des pays où la population n'est pas vaccinée ! Je conseille de suivre la conférence du Dr Carole Cassagne de l’IHU de Marseille, dans la très solide équipe du Pr Raoult au contact du réel et de la vraie science. https://www.youtube.com/watch?v=IbIsH7N1KkU.

Mon collègue, comme moi n’est pas opposé à la vaccination des personnels de santé et il précise ”pour des raisons économiques” car le personnel infirmier ou le médecin refusant le vaccin risque d’être mis à pied et ne sera pas remplacé. Dans un service, on ne peut se passer du personnel compétent pour soigner.   

       2/ Les vaccins ont poussé comme des champignons dans une concurrence effrénée en moins d’un an, alors qu’il nous était dit qu’il fallait dix ans pour changer un élément – tel l’aluminium – de la composition d’un vaccin !

Et ce n’est qu’un début : 184 vaccins contre le Covid-19 sont en cours de développement préclinique (sur les animaux), et 105 vaccins en développement clinique (sur l'humain), dont 27 en phase 2/3 ou en phase 3 (la dernière avant la commercialisation) d'après le rapport de l’OMS du 29 juin dernier.

Une avancée scientifique sans précédent clament certains, une bataille, une guerre gagnée.  On l’espère, mais ce n’est pas si sûr. Un nouvel Eldorado pour de petits groupes qui se jettent dans l’aventure, un monumental business, c’est plus certain : avec ses 2 doses de vaccin, Pfizer prévoit de gagner 26 milliards de dollars cette année. Il y a de quoi stimuler les Etats.

Quelle immunité protectrice nous procurent ces vaccins et pour combien de temps ? On ne le sait pas vraiment aujourd’hui.  

On observe et mesure leurs limites d’efficacité avec la covid post-vaccinale. On vous rassure à moitié, « vous ferez une maladie moins grave, donc vaccinez-vous et surtout dépêchez-vous. »

       3/ L’Etat a besoin d’annoncer comme en Chine que tout son peuple sera vacciné, protégé, immunisé avant la fin de cette année. Mais il ne faudrait pas que les vaccinés, ayant reçu l’ARN messager pour fabriquer la protéine Spike et pas assez d’anticorps anti-coronavirus, se sentant protégés, soient finalement les plus sensibles à la maladie[7].  L’avenir nous le dira… Donc restez masqués (bien qu’aucune preuve scientifique ne permette d’affirmer l’efficacité de cette pratique), distanciés…

A qui faire confiance alors que 90% des nouveaux cas au Portugal comme en Inde sont liés au variant Delta qui arrive en France ?

Le variant Delta est deux fois plus contagieux. Une personne peut en contaminer 6 à 7 autres.

A Lisbonne et Porto, un peu partout en Asie, du Bangladesh à la Thaïlande ou l’Indonésie en passant par la Corée du Sud et Taïwan (considérés jusqu’à présent comme les bons élèves de la gestion de la pandémie), les mesures de confinement et le couvre-feu reviennent…

Après les obligations comportementales, l’obligation vaccinale se prépare pour éviter la guerre entre vaccinés et non-vaccinés, en commençant par les personnels de santé puis toute la population.

Pour y parvenir, il suffit de confrères non sans liens d’intérêts passés ou présents avec l’industrie pharmaceutique. Sans signaler leurs liens, ils ont le culot de signer une tribune journalistique et sont interviewés en boucle sur radios et télés en plein week-end pour préparer une loi qui sera votée par une représentation nationale aux ordres.

En outre, on nous assène deux concepts mille fois répétés qui cherchent à culpabiliser ceux qui ne suivent pas, pour unifier la pensée sous le seul étendard du VACCIN :

- la balance bénéfices/risques en omettant de dire l’essentiel : bénéfices financiers pour peu de personnes et risques de santé pour tous, car on ne sait rien sur l’efficacité réelle de ces vaccins face à un virus qui change continuellement de visage.

- l’immunité collective, calculée sur des modèles mathématiques froids, ne serait acquise – c’est ce que l’on nous dit seulement maintenant - qu’avec la vaccination généralisée en comparant la Covid avec d’autres maladies, telles la variole ou la polio. Or, ces maladies n’ont rien de comparable.

Ces concepts justifient toutes sortes de cadeaux de la part des fabricants pour pousser à la vaccination et augmenter les chiffres. Des bus vont sillonner les lieux de vacances et venir jusque chez vous ; et, si vous n’êtes pas vacciné, vous serez harcelé au téléphone jusqu’à l’obéissance.

En Angleterre avec le variant Delta

Selon le dernier rapport de Public Health England, publié le 25 juin dernier, une vaccination complète est efficace à 79 % contre une infection par le variant Delta, à 96 % contre une hospitalisation.

 

Le premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé qu’au 19 juillet toutes les restrictions seront levées, y compris la distance sociale et le port du masque, jusque dans les transports en commun. Il en assume toutes les conséquences : « Nous aurons peut-être 50 000 cas quotidiens au 19 juillet, les hospitalisations vont augmenter et nous devons nous faire à l’idée qu’il y aura aussi malheureusement plus de morts. » Le secrétaire d’État à la santé a même évoqué le chiffre de 100 000 contaminations par jour durant l’été.

En Israël, pays très vacciné, l’épidémie repart, le variant Delta est prédominant.   L’efficacité des vaccins contre une infection tomberait à 64 % contre 94 % jusque-là, selon le ministère de la santé.

En France, l’institut Pasteur a modélisé l’avenir..

Il souligne, à l’appui de son modèle, que « les personnes non vaccinées de plus de 60 ans représenteraient 3 % de la population mais 35 % des hospitalisations ». Les personnes non vaccinées portent aussi l’épidémie : « Une personne non vaccinée a 12 fois plus de risques de transmettre le SARS-CoV-2 qu’une personne vaccinée. Selon ce modèle, les enfants non vaccinés seront largement touchés par le Covid ; ils pourraient représenter la moitié des infections.

Lire la suite

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :